Présentation rapide des personnages présents :
-Aldhar ; Un tueur de démon, maussade, armé d’une hache et d’un marteau tous deux runiques et à deux mains.
-Bianca ; Une prêtresse de Shallya, un peu libertine et d’humeur vengeresse.
-Erwin ; Le fils adoptif mutant de Bianca, et son physique d’homme tigre est largement compenser par sa capacité de devenir invisible.
-Gig ; Un gobelin totalement cinglé qui charge ses adversaires avec un tromblon. Ce qu’il fait là ? Il veut juste être du côté de ce qui gagne toujours.
-Helena ; Une guerrière aussi belle que redoutable, voir Larandar pour plus de renseignements.
-Igor (the best) ; Un bestigor (et oui c’est un jeu de mots pourri) qui n’a donner d’autres raisons une vengeance personnelle.
-Larandar ; Un Elfe qui a réussi à monter en grade dans “l’armée des ombres”. Marié à Helena et le père de sa fille.
-Le Graaf de Middenheim.
-Magnus ; Un magicien de l’ordre flamboyant, banal parmi les siens, étrange parmi le peuple.
-Willhelm ; Un noble, assez vantard et finalement bon escrimeur et meneur d’hommes.
-Wulf ; Un pseudo répurgateur qui n’a pas participé aux batailles jusqu’ici et qui prétend s’être retrouver la totalement par hasard.
Annexe :
-Une centaine de Tueurs (de ?) jovials et impatients.
-3000 Elfes, des gardiens tribaux.
-Un régiment de sentinelles Halflings.
-Des Berserks Norses.
-Des Kossars Kislevits.
-Des Chevaliers Brettoniens.
-Des Chasseurs Tiléens.
-Des soldats normaux.
-Quelques mutants.
Présentation très rapide des événements :
L’armée des ombres se voie dans l’obligation de rester à Middenheim. Et toute la ville s’organise pour la bataille à venir. Car en effet, Meyer arrive avec ses armées. Et bien que les alliers soient nombreux, la victoire est loin d’être certaine. Nul ne sait où pourrait se trouver l’armure d’Archaon, à condition bien sur qu’elle soit toujours à Middenheim. Et si on commence à savoir que la guerre et proche, Willhelm lui passe le plus clair de son temps à observer le sablier que Meyer lui avait donné il y a deux ans. Il n’y avait presque plus de sable dans la partie supérieure. L’heure approchait.
* * * * *
- Pen of Chaos > La bataille de Zoug Amag Zlong a écrit:
- Venus des terres gelées, chevauchant des dragons des glace les barbares et les amazones faisaient tourné leurs armes au dessus de leur têtes. Arrivés du cœur des montagnes (à gauche à côté du volcan vomissant de souffre) sur des chariots chargés de barils de bière les nains ivres rotaient leur envie d’en découdre. Montés sur des licornes rehausser d’or et d’argent, la confrérie des maîtres sorciers et confiseurs venaient protester contre la hausse des prix du sucre. Tout juste sortie des portes de l’enfer, la guilde des nécromanciens tentait une fois de plus d’asservir le monde. Aidés par des hordes de démons et des orques des pâturages montés sur de redoutables brebis faon. Enfin, des Elfe qui passaient par là n’eurent d’autre choix que de lutter pour rester vivants (parce que personne ne les aime ces sales prétentieux). Replongeons nous ensemble dans les meilleurs moments de ce qui restera dans les mémoires comme la batailles la plus sanglante qu’aient connu les peuples libres et les servants de forces du mal… Mais aussi les campeurs venus cueillir des champignons par ce bel après midi ensoleillé.
* * * * *
Tous observaient l’horizon. Le soleil, pour le plus grand malheur, se couchait juste derrière lui, et sa lumière pourtant réconfortante allait les handicaper encore un moment. Nul doute que l’ennemi avançait : le sol tremblait depuis la veille et chaque heure un peu plus intensément.
Larandar et Helena passait leurs derniers instants avant la bataille dans une chambre d’auberge avec leur fille. La prêtresse implorait l’aide de sa Déesse. Le noble rassemblait la cavalerie qui devait charger en premier. Le mage révisait de nouveau sort appris récemment lord d’un voyage personnel qui l’avait mené jusqu’à la bibliothèque de Middenheim. Le Nain assit sur un créneau de la muraille faisait basculer ses jambes d’avant en arrière tel un enfant, tout en fumant ce qu’il espérait être sa dernière pipe.
Ils furent distrais par les cris d’un garde qui appelait le Graaf. Et quand celui-ci lui demanda ce qui se passait il répondit que des mouvements à la porte ouest réclamaient toute son attention.
Le Graaf ordonna que personne ne quitte son poste sans y être autorisé.
Ainsi suivit il le garde. Il fit rapidement rattraper par Larandar :
« Que ce passe votre grâce ?
_Décidément on ne peut rien vous cacher plus d’une trentaine de secondes à vous.
_N’importe qui serai curieux d’aller voir ce qui se passe mais rares sont ceux à pouvoir le faire faute d’autorisation.
_Très bien. Je me rends à la porte ouest. Il parait que je dois voir quelque chose d’important.
_Espérons, en tous cas que si cela ne nous aide pas elle ne nous nuira pas non plus.
_Vous risquez alors d’être agréablement surpris seigneur Elfe. » Dit le garde en les faisant s’engager dans la tour de guet.
« Et pourquoi ne pas nous dire ce qu’il faut v… » Le Graaf s’arrêta net. Restant sans voix devant le spectacle qui s’offrait à son regard.
Une dizaine de chevaux, rangés en cercle, au pelage de soie avançaient d’un même pas stricte et ordonné. De grandes ailes blanches se soulevaient de leur dos, aucuns n’étaient sellé. Leurs cavaliers portaient des armures d’or et de jade, à peine visibles seul Larandar discernais leurs armes ornées de pierres précieuses, et de fières parures touchant presque le sol reposaient sur leurs épaules. Le plus en avant tenant une bannière rouge flottant au vent.
Au centre trônait tel un seigneur des airs, un hippogriffe. Aussi majestueux que celui qu’il portait : Un homme vêtu uniquement d’une tunique de soierie fine brodé d’or. Et une couronne surplombait sa tête, reflétant le soleil en éclats rouges et jaunes. Derrière ce groupe se tenait une armée d’au moins cinq milliers d’Hommes en mailles portant le tabard impérial et armé de lance. Le cavalier sur l’hippogriffe se mit debout sur sa monture et clama :
« Mes salutation mon vieil ami ! Nous, Karl Franz 1er désirons entrer en ville.
_Pour sur ? » Lui répondit le Graaf en souriant. « Alors joignez vous donc à nous. Qu’on ouvre les portes ! » Il descendit avec Larandar accueillir l’empereur, tandis qu’ils pouvaient entendre l’armée impériale se déplacer. Comme le voulait la tradition, le Graaf se mit seul dans l’allée face à la porte, puis fit signe à ses gens de l’ouvrir.
Elle s’ouvrit lentement. Et au fur et à mesure de sa progression on découvrait peu à peu devant l’armée impériale un bougre sur une charrette remplit de tonneaux, tirée par deux bœufs. Il était petit et rondouillard, mal rasé et vêtu de vieux cuir mal tanné. Quand la porte eu finit de s’ouvrir, il leva sa main droite et dit : « Chalut ! »
Tous le regardèrent avec un étonnement qu’aucun être n’aurai cru possible.
« Mille porcins dans d’la colique ! Qu’est-ce qui fout là le père Androt ? » Hurla un soldat en se tordant de rire.
« J’aurai voulu lui poser la question moi-même si vous me permettez. » Dit le Graaf en lançant un regard noir à son soldat qui retourna dans ses rangs en baissant la tête.
« Donc, père Androt ? Que faites vous sur le passage de l’empereur ?
_En v’la une devinette. Comme tous les deux jours j’rammène mon vin de Beeckerhoven pour désoiffer les miséreux qui osent boire à mon comptoir. » Il l’avait dit comme si c’était la plus grande des évidences. « Mais j’dois dire que ch’est pas tou’l’temps que j’suis si b’en echcorter vot’ altesse. Et i’m’tarde de la r’joindre ma taverne si vous m’permettez. » Il fit une sorte de révérence ratée. Des rires raisonnaient dans l’armée de l’empereur, quand des bruits de désapprobation s’élevèrent de la foule à l’intérieur de la ville. Apparaissant d’entre les garde, Aldhar s’excusa une dernière fois, puis sauta à l’arrière du chariot.
« Ca c’est une bonne idée vas y donc que je puisse t’en vider un ou deux. » Le père Androt fit mine de fouetter ses bêtes avec une branche, et le Graaf s’écarta pour laisser passer le tavernier. Karl Franz le suivait en riant de bon cœur.
« Avez-vous vraiment escorté cet homme votre altesse ?
_Si l’on veut. » Répondit l’Empereur. « Disons que nous avions la même destination, alors nous nous sommes joint à lui.
_Tout de même je m’en souviendrai de cette entrée. »
Jeu 3 Avr - 0:03
